Eaux pluviales en ville : adapter les réseaux

Lors de son dernier numéro l’Eau l’Industrie les Nuisances s’est intéressé à notre concept

Dans cet article, EIN parle des différentes exigences environnementales et règlementaires des eaux pluviales. Les collectivités doivent faire face à l’évolution du patrimoine sans tout casser.. Comme l’arrêté du 21 juillet 2015 « relatif aux systèmes d’assainissement collectif et aux installations d’assainissement non collectif » fixe les règles de conformité en temps de pluie. Plusieurs étapes sont nécessaires à l’installation de techniques alternatives.

Par ailleurs l’arrêté de 2015 a bien perturbé le milieu des exploitants. Auparavant, en cas de pluie, les eaux non traitées se déversaient dans le milieu naturel. Celui ci limite 5% du volume d’effluent produit dans le système d’assainissement, ou 5% de la charge maximum annuelle, ou 20 déversements par an sur les déversoirs d’orage. 

Dont comme F-Reg, qui possède un bureau d’études EC.Eau, réalise également depuis de nombreuses années de véritables études exploratoires pour la détermination des capacités de stockage à une échelle macro (dimensionnement d’un ensemble cohérent de vannes de régulation fonctionnant en intéraction sur un réseau d’assainissement complet). Avec en plus la simulation de l’impact sur des chroniques annuelles grâce à de la modélisation hydrauliques poussées. Par exemple, sur Dinard, nous réalisons la conception du dispositif de régulation de 36 vannes.

Une fois l’étude faite, place à l’installation de la vanne. Dans l’article , nous présentons le projet de Givenchy en Gohelle. En effet les vannes hydrodynamiques autonomes F-Reg permettent d’utiliser le réseau unitaire , ou séparatif, comme volume de stockage dynamique de l’eau pluviales; comme à Givenchy en Gohelle. Le coût du stockage est alors généralement divisé par 3 par rapport à celui d’un bassin d’orage. 

Pour retrouver l’article c’est ici. (à partir de la page 35)